The Fernand Léger Carpet based on a 1953 Aubusson tapestry is a masterpiece of 20th century artists' carpets. This unique piece resurrects the work of Fernand Léger in a hand-knotted tapestry of high artistic quality. With its generous dimensions of 3 x 2 meters, this magnificent piece is ideal for elevating the aesthetic feature of any room. The creativity of this work of art combined with the sophistication of the craftsmanship elevates the rug to a level that transcends the traditional functions of any ordinary rug. If you're looking to incorporate a touch of artistic elegance into your interior, this rug is the perfect option.
Fernand Léger | ![]() |
Fernand Léger, né le 4 février 1881, à Argentan (Orne) et mort le 17 août 1955 à Gif-sur-Yvette (Essonne), est un peintre français, aussi créateur de cartons de tapisseries et de vitraux, décorateur, céramiste, sculpteur, dessinateur et illustrateur. Il a été l’un des premiers à exposer publiquement des travaux d’orientation cubiste, même si on a parfois qualifié son style de « tubiste ». À dix-neuf ans, après une enfance à Argentan et des études d'architecture à Caen, il découvre le Paris de 1900. Léger n’y accomplit jamais la formation d’architecte qu’il est venu y poursuivre. Lentement, s’imprégnant patiemment du mouvement dynamique de la ville, il troque son tire-ligne pour les pinceaux : l’assurance d’un métier stable contre la promesse d’une liberté périlleuse. Dès 1903, Léger partage un atelier avec le peintre André Mare. Après son échec aux Beaux-Arts, il s’exerce dans diverses académies. Daniel-Henry Kahnweiler, qui devient son marchand, se souvient ainsi de Léger allant dessiner le nu presque tous les soirs à l’académie de la Grande Chaumière. Il reste difficile de savoir à quoi ressemblaient ces dessins. Léger dit effectivement avoir détruit entre 1902 et 1908 une grande partie de ses travaux au fur et à mesure de leur production. Peut-être contenaient-ils encore quelques traces du sentimentalisme du Jardin de ma mère, peint en 1905, ou de ces Gamins au soleil (1907) que Guillaume Apollinaire qualifia de « baignades du soir postimpressionnistes ». Sans interprétation abusive, on peut assimiler la destruction de ces dessins à un acte proprement artistique : en s’attaquant à ses tentatives désuètes, Léger brutalisait déjà la tradition. Œuvre au musée international de la céramique de Faenza. En 1907, comme de nombreux peintres parisiens, il est très marqué par la rétrospective consacrée à Cézanne qui oriente définitivement sa peinture. La même année, il découvre le cubisme de Picasso et de Braque. |